Mayflower

In "CE QUI SE PASSE", 25 FPS, AUDIO, MIND STORM, Scopitones, SCREENS
Scroll this

Alternons espérance naïve et lucidité, demeurons légers et confiants, puisque de toute façon, tôt ou tard, et sans doute pas « maintenant », puisque pour le moment, on en est à éviter la logique des pires, quelque chose se passera.

Et si l’histoire doit se répéter sous forme de farce, parions qu’il n’est plus temps de rire, et regardons de loin les années 80 se bidonner devant tout ce qu’elles n’auront pas résolu. La troisième mi-temps est peut être en route.

Bref, les mois de mai se suivent, et peuvent s’inspirer les uns les autres sans se ressembler. Pour que tout change, il faut que tout demeure identique à soi même, assez longtemps pour que l’anchylose gagne, et qu’il faille changer de position,  qu’un sang neuf  circule dans les veines, et qu’un élan vital mieux orienté nous anime.

[youtube width= »800″ height= »400″]https://www.youtube.com/watch?v=ue5GYn4GVUs[/youtube]

12 Comments

  1. Merci pour la musique, Youri, et pour cette vidéo, Michel. Je suis trop jeune pour que ça soit autre chose pour qu’un témoignage un peu irréel, mais tout de même, ça retourne un peu les tripes.

  2. Blacklistée ?! Non ! Evidemment pas !!

    Quant à la reprise du travail aux usines Wonder, le documentaire d’Hervé le Roux, sobrement intitulé « Reprise », avait mené, en 2008, une passionnante enquête sur ces trrrravailleurs, et trrrrrravailleuses dont on avait entre temps perdu la trace. Grand petit moment.

    Il est heureux que ça remue encore un peu les tripes de quelques uns !

  3. « Black listed », c’est le retour que j’ai eu après avoir posté hier un texte de Tunisie, dans lequel je parla

  4. « Black listed », c’est le retour que j’ai eu après avoir posté de Tunisie un texte dans lequel je parlais un peu du travail ici, du ministre éponyme, de l’annulation d’une visite, de conflits sociaux locaux et quelques autres coquecigrues. Comme bien sûr, je ne l’avais pas sauvegardé et que je n’aurai pas le courage de le réécrire, il est perdu pour l’histoire (avec un tout petit h).

    Je n’ai jamais cru que le taulier ait pu me mettre sur une liste noire : j’ai cru à une fantaisie électronique.

  5. Ca me semble relever, plutôt, et contrairement à ce qui avait été affirmé par les nouvelles autorités tunisiennes lors du printemps dernier (enfin LE printemps, quoi) d’un maintien du bon vieux filtrage par l’Etat.

    A ce qu’il parait, les mots « révolution » et « changement » ont été dégradés par Moody’s !

  6. Zut, j’étais en visite « officielle », ordre de mission, cravate, costard, discours policé, directeur général, et tout et tout. Ils ne vont plus me réinviter, alors ?

    Did you think I’d crumble? Did you think I’d lay down and die?
    Oh, no, not I, I will survive
    Oh, as long as I know how to love, I know I’ll stay alive
    I’ve got all my life to live, I’ve got all my love to give
    And I’ll survive, I will survive, hey, hey

    Ah zut, c’est pas du Dona Summer ! Je ne colle pas à l’actualité !

  7. Pas grave ça reste une « drama queen ». Mais bon, en effet, Dona Summer, c’est plutôt « I feel Loooooooooooooooove »

    Méfiance, cependant, avec la référence trop appuyée à ce style : coup sur coup, Dona Summer et Un tiers des Bee Gees, il fait pas bon être disco, ces temps ci !

  8. Bon de toute façon, moi j’aime que Barry White. C’est pas du disco, ça, quand même ? Bon, ça ne l’a pas empêché de mourir.

  9. Je dirais que c’est entre la soul et une sorte de disco pas très rapide. La classe internationale, quoi 🙂

Répondre à Michel Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *